FAQ

FAQ

À mon sens, il n’y a pas de style de yoga. Tous sont en fait la même chose. Ce que je veux dire par la c’est que leur but d’intériorité est identique. Seule la manière de pratiquer diffère : pratique posturale dynamique en mouvement ou pratique posturale plus lente, plus douce.

Tous les yogas vous amèneront dans cet état de méditation. Dans l’Ashtanga et dans le Vinyasa on donc parle de « méditation en mouvement ». C’est en essayant une pratique, puis une autre, qu’on trouve celle qui nous correspond le plus : ce ressenti profond, cette forte connexion.

Non, ce ne sont pas des sports, bien que de l’extérieur ils ressemblent à une activité sportive.

dans le yoga, la performance et la compétition sont absentes. Le but recherché est totalement différent. On cherche à s’élever spirituellement. On est dans ce retour vers soi. Dans les différentes étapes amenant à « l’éveil », on passera par le postural, c’est à ce moment là qu’on travaille son corps physique. c’est pourquoi il est facile d’assimiler le yoga à un sport.

Avec une pratique régulière étalée dans le temps, on se rend compte rapidement qu’il n’est pas question de sport ici, mais d’une étendue de possibilités vers des strates plus profondes du « soi ».

C’est grâce à elle que nous oxygénons nos muscles et nos organes.

Dans le yoga Ashtanga et Vinyasa, la respiration est thoracique et c’est la clé de la pratique. cette respiration est dite « Ujjayi ». L’inspiration (ou expiration) doit se faire avant le mouvement. autrement dit, la respiration amène le mouvement du corps et non l’inverse.

Elle permet un enchaînement fluide entre les postures ; elle est notre fil conducteur.

C’est aussi notre baromètre : quand elle est clame, longue et profonde, on se sent vraiment bien dans la posture et notre esprit s’apaise. Quand elle est rapide, ou même bloquée, quelque chose ne va pas ; la posture engendre des difficultés et du mal à se poser.

Il n’y a pas de prérequis pour le yoga Ashtanga et Vinyasa. C’est au fil des pratiques que le corps s’assouplira et se renforcera. Il faut être patient et régulier. Bien sûr nous ne sonnes pas égaux, pas les mêmes parcours passés, pas les mêmes corps.

Chaque personne traversera des résistances dans les postures, que ce soit au début ou un peu plus tard. Ce qui importe c’est de pratiquer avec un souffle calme et faire ce dont on est capable sur le moment, rien de plus.

La première série commence par les salutations au soleil. On fait 5 salutations A, et 5 salutations B. Puis on réalise les postures debout (elles permettent de travailler les jambes et l’enracinement des pieds). Ensuite on enchaîne avec une séquence de postures au sol. On terminera par les postures de fin et enfin la relaxation.

Il existe 6 séries en tout. La plupart d’entre nous reste dans les premières séries. Plus on avance dans les séries et plus cela devient difficile et intense. Dans chaque série on fera donc les salutations, les postures debout (ou seulement certaines) et pour terminer les postures de fin.

Cet enchaînement de postures a un sens énergétique. L’ordre précis permet ainsi aux élèves la mémorisation rapide de cette séquence. le fait de répéter toujours les mêmes enchaînements développe la mémoire du corps. On imprime ainsi chaque posture, à l’intérieur de soi et dans ses cellules. Une pratique régulière permet de bien maîtriser les postures.

Les deux pratiques ont de nombreux bienfaits :

  • amener de l’énergie au pratiquant
  • développer la force, la souplesse, l’équilibre : travail complet du corps
  • améliorer la concentration
  • augmenter sa capacité respiratoire
  • apaiser le mental et renforcer l’union entre son corps et son esprit

Oui. On commence toujours doucement et on met en place les bases sur les postures fondamentales et sur les salutations. On décompose si nécessaire et on ralentit le rythme si besoin.

Oui, mais il faudra y aller doucement et surtout écouter son corps. Les postures inversées ne se feront pas (à partir de la chandelle, jusqu’à la posture sur la tête). On remplacera ce passage « inversé » en mettant ses jambes perpendiculaire à un mur et en restant quelques minutes. Ces postures inversées « contrarient » l’élimination du sang en période de règles. Il est donc important de laisser son bas ventre tranquille et dans une position neutre.

L’Ashtanga et l’Iyengar ont la même origine, c’est à dire le même maître (ou gourou) : il s’agit de Sri T. Krishnamacharya. Il est le fondateur du yoga actuel. On retrouve donc les mêmes postures, mais les déroulements des cours est très différents l’un de l’autre.

En effet, en Iyengar on recherche l’alignement du corps dans ses moindres détails. Et on reste beaucoup plus longtemps dans chaque posture, de façon à bien enregistrer la position de son corps dans l’asana (posture). Savoir aligner son corps permettra donc d’éviter les blessures. Ce yoga Iyengar est un excellent outil pour votre pratique de l’Ashtanga.

Le but est de créer de la chaleur. Cela a donc pour conséquence d’éliminer les toxines, et ainsi améliorer la corrélation sanguine dans chaque partie du corps.

Tout dépend du type de blessures. La première chose à faire est d’aller consulter un médecin ou spécialiste et lui demander si c’est possible. S’il nous dit qu’on peut reprendre doucement on adaptera la pratique de manière à ne pas aggraver notre souci de santé. Si par contre, le médecin le déconseille, alors il vaut mieux se reposer et attendre. on pourra toujours faire des petites sessions de respiration à la maison.

Le yoga Ashtanga et Vinyasa ne remplaceront jamais le travail d’un médecin/spécialiste ; son avis est capital. Il est important d’avoir une excellente connaissance de son corps avant même de pratiquer, même avec une petite blessure.

Vous souhaitez en savoir plus ?

Envoyez-moi un message, je serais ravie de répondre à toutes vos interrogations.

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